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27 mars 2024 3 27 /03 /mars /2024 06:40
Ouest-France, 27 mars: Le candidat communiste à l'écoute des pêcheurs
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25 mars 2024 1 25 /03 /mars /2024 21:20
Léon Deffontaines: "L'Europe doit agir pour les services publics" - Interview dans Le Télégramme, 25 mars 2024
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25 mars 2024 1 25 /03 /mars /2024 20:36
Européennes, mardi 26 mars : Meeting régional avec Léon Deffontaines et Fabien Roussel à Quimper, salle Dan ar Braz, à 19h30
Européennes, mardi 26 mars : Meeting régional avec Léon Deffontaines et Fabien Roussel à Quimper, salle Dan ar Braz, à 19h30
Européennes, mardi 26 mars : Meeting régional avec Léon Deffontaines et Fabien Roussel à Quimper, salle Dan ar Braz, à 19h30
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22 mars 2024 5 22 /03 /mars /2024 10:47

 

Le ministre de l’Économie assène que notre modèle économique et social va dans le mur à cause de la « gratuité » des prestations. C’est faux. Les services publics comme la protection sociale ne sont pas gratuits : ils sont financés par ceux qui en bénéficient.

« La gratuité de tout, pour tous, tout le temps, c’est intenable » ! Avec cette phrase prononcée dans les colonnes du Journal du dimanche, le ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire, se livre à une attaque en règle contre le système de protection sociale et les services publics. Il se rend coupable de désinformation pour justifier ses velléités austéritaires.

Le locataire de Bercy, rappelons-le, a annoncé un nouveau train de coupes dans les dépenses publiques de 10 milliards pour 2024, et de 20 milliards supplémentaires en 2025. Forcément, il faut trouver une rhétorique pour le justifier en alignant les clichés les plus populistes.

« Nous devons remplacer l’État providence par l’État protecteur », égrène le ministre, qui qualifie « l’État providence » de « machine à empiler de nouvelles dépenses publiques, sans examen de leur pertinence ni de leur efficacité, sans remise en cause non plus des dépenses précédentes ».

« En finir avec la gratuité »

Au-delà de ce catéchisme ultralibéral, Bruno Le Maire véhicule un mensonge. Les services publics, les aides et prestations sociales ne sont pas « gratuits ». Si des prestations sont fournies sans reste à charge lorsqu’elles sont sollicitées de droit, c’est parce qu’elles ont été préalablement financées par ceux-là mêmes qui en bénéficient. Les écoles publiques sont financées par les impôts. Les prestations sociales ne sont possibles que par les cotisations versées par les salariés et les entreprises.

 

De façon mensongère donc, Bruno Le Maire pousse jusqu’à séparer ceux qui cotisent de ceux qui perçoivent ou bénéficient d’une prestation du service public. « Il y a toujours quelqu’un qui paie la gratuité », ose le ministre, alors que ceux qui contribuent en fonction de leurs moyens et perçoivent en fonction de leurs besoins sont les mêmes.

La charge étant jugée « trop lourde » pour les salariés, Bruno Le Maire en arrive à la conclusion qu’il faudrait « en finir avec la gratuité », c’est-à-dire les faire payer, pour alléger leur fardeau.

Le ministre de l’Économie n’est pas idiot. Cet exercice rhétorique cache à peine ses intentions : ne pas mettre davantage à contribution ceux qui en ont les moyens et bénéficient de longue date des largesses des finances publiques.

S’il existe des dépenses publiques « sans examen de leur pertinence ni de leur efficacité », elles sont à chercher du côté des aides versées sans contrepartie aux entreprises privées. Pour elles, pas d’autre sermon qu’une nouvelle invitation polie du ministre à « continuer » à augmenter les salaires.

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22 mars 2024 5 22 /03 /mars /2024 10:31

 

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21 mars 2024 4 21 /03 /mars /2024 20:42
Nouvelle manifestation pour Gaza à Morlaix le vendredi 22 mars à 18h
Quand nous pensons avoir assisté au pire à Gaza, l'horreur se renouvelle, sans limite. La situation à Gaza, où la famine et la situation sanitaire sont délibérément utilisées comme des armes de guerre, soumettent la population à des conditions d'existence de plus en plus insupportables. C’est pour dénoncer cette situation et pour exiger un cessez-le-feu immédiat et permanent à Gaza que nous nous retrouverons VENDREDI 22 MARS À 18H - PLACE DES OTAGES À MORLAIX
 
Manifestation unitaire avec le soutien pour l’instant du PCF, LFI, NPA, Gauche indépendantiste, UDB, LDH, Mt de la Paix, Solidaires, FSU... et d’autres à venir, espérons le !!!
 
L'AFPS Pays de Morlaix
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21 mars 2024 4 21 /03 /mars /2024 19:13
28 mars - La Colombie à l'heure des réformes et de la Paix - Prochain Jeudi Rouge du PCF pays de Quimperlé avec Manuel Salamanca du Parti communiste colombien

Le prochain jeudi rouge c'est la semaine prochaine. L'invité est Manuel Salamanca, militant du Parti Communiste Colombien et correspondant de Voz (journal du PCC).

"la Colombie à l'heure des réformes et de la paix?"
JEUDI 28 mars 18h30
Espace Benoîte Groult
3 avenue du Coat Kaër à Quimperlé
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21 mars 2024 4 21 /03 /mars /2024 19:13
LE MARDI 26 MARS 2024  LES RETRAITÉ.ES  A L'APPEL DE 9 ORGANISATIONS  SE RASSEMBLENT ET MANIFESTENT - A 10H30  PLACE DES OTAGES  A MORLAIX

LE MARDI 26 MARS 2024

LES RETRAITÉ.ES

A L'APPEL DE 9 ORGANISATIONS

 

SE RASSEMBLENT ET MANIFESTENT

A 10H30

PLACE DES OTAGES

A MORLAIX

 

Vous trouverez ici deux expressions argumentant cette initiative :

 

1) Tract intersyndical pour action Retraité(e)s MORLAIX - mardi 26 mars 2024,

 

2) UCR CGT Les retraité(e)s ne se laisseront pas voler - 26 mars 2024.

LE MARDI 26 MARS 2024  LES RETRAITÉ.ES  A L'APPEL DE 9 ORGANISATIONS  SE RASSEMBLENT ET MANIFESTENT - A 10H30  PLACE DES OTAGES  A MORLAIX
LE MARDI 26 MARS 2024  LES RETRAITÉ.ES  A L'APPEL DE 9 ORGANISATIONS  SE RASSEMBLENT ET MANIFESTENT - A 10H30  PLACE DES OTAGES  A MORLAIX
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21 mars 2024 4 21 /03 /mars /2024 19:04
Malgré son parcours «exemplaire» depuis cinq ans en Bretagne, Alhassane Kaba est menacé d’expulsion (Zoé Boiron, Ouest-France, 17 mars 2024)
La réunion du comité de soutien aura lieu le samedi 23 mars à 11 h salle du rouallou à Pleyber Christ.
 
La pétition pour la régularisation d'Alhassane Kaba a recueilli déjà plus de 30 000 signatures.
 
 Aidez-nous à franchir le cap symbolique des 50 000 signatures le plus rapidement possible!!! 
 

Sandrine Corre nous présente le parcours de ce jeune homme, Alhassane Kaba, qui mérite largement sa place dans notre pays.

     Alhassane est un jeune réfugié guinéen de 21 ans.
Il a fui la Guinée à l'âge 14 ans, abandonné très tôt par sa maman, il n'a jamais connu son papa. Il a grandi dans la rue. Après un exil qui le fait passer par la Mauritanie, le Maroc, il traverse la Méditerranée sur un bateau, à la rame.
C'est ensuite l'Espagne, la France, Paris et enfin la Bretagne, au Cloître-Saint-Thégonnec, où il arrive en été 2019. Minorité contestée ; mais il n'y pas eu de recours engagé avant ses 18 ans. Alhassane a alors 16 ans. Il a une seule envie, étudier !
     Il ne sait pas bien lire et n'a jamais été à l'école. Il intègre en septembre le collège de Plounéour-Ménez en classe de 3ème où il ne cesse de travailler pour obtenir son brevet, avec une mention! Il intègre ensuite une seconde générale au lycée Tristan Corbière de Morlaix, c'est pas facile mais Alhassane bosse dur! Il choisit d'intégrer une première microtechnique, il enchaîne les stages, c'est une réussite à chaque fois. Alhassane s'intéresse à tout et s'intègre très vite. Il obtient son bac avec mention Bien.
Il cherche sans arrêt des petits boulots pour gagner un peu d'argent, pas simple sans papiers...

    Alhassane est solaire, d'une extrême gentillesse et il a de nombreux amis de tous les âges. Il vit en famille d'accueil et a un parrain et une marraine civils, depuis la cérémonie célébrée par le maire de PleyberChrist.
Depuis 6 mois, celle avec qui il a créé des liens depuis un bon moment devient sa petite amie.

     Malgré de nombreux et magnifiques témoignages Alhassane vient d'avoir un refus de sa demande de titre de séjour assorti d'un OQTF.
C'est l'incompréhension pour tous, il coche TOUTES les cases de l'intégration, il parle très bien le français, il a deux promesses d'embauche en poche, obtenues pendant ses stages (une entreprise de Morlaix et l'autre chez Enedis), il est scolarisé depuis son arrivée sans interruption. Il est toujours volontaire pour tout. Il a fait tant d'efforts que nous sommes révoltés par cette décision digne de Kafka.
Si Alhassane n'obtient pas son titre de séjour avec son sans faute, objectivement, qui l'obtiendrait ?

    L'avocate d'Alhassane lance cette semaine le recours contre la décision de la préfecture, ce qui, déjà, suspend l'obligation de quitter le territoire.
Nous l'aimons évidemment et il est inconcevable qu'il soit renvoyer en Guinée, un pays où il n'a plus de lien ni de projets. Plus de vie.
Sa place est ici ; sa vie est ici, avec nous, et nous nous battons pour qu'il réalise tous ses rêves.
Merci d'avoir pris le temps de lire son histoire

    Pour Alhassane Kaba, et son Comité de soutien constitué,

Ouest-France

Malgré son parcours «exemplaire» depuis cinq ans en Bretagne, Alhassane Kaba est menacé d’expulsion

Zoé BOIRON. Publié le

Ses proches vivent dans « la peur » de son expulsion. Alhassane Kaba, Guinéen de 21 ans, vit depuis cinq ans en pays de Morlaix. Pour avoir le droit de travailler en alternance, il a demandé un titre de séjour. Le 11 janvier 2024, la préfecture du Finistère lui a refusé et a émis une Obligation de quitter le territoire français (OQTF). Son entourage organise une réunion de soutien samedi 23 mars 2024, à Pleyber-Christ.

Alhassane Kaba, entouré de Sandrine Corre (à droite), chez qui il vit depuis 5 ans, d'Annaïg, 17 ans, sa petite amie, et des parents d'Annaïg, Hervé et Aurélie Bonthonneau, parrain et marraine civils d'Alhassane.

Alhassane Kaba, entouré de Sandrine Corre (à droite), chez qui il vit depuis 5 ans, d'Annaïg, 17 ans, sa petite amie, et des parents d'Annaïg, Hervé et Aurélie Bonthonneau, parrain et marraine civils d'Alhassane. | OUEST-FRANCE

Depuis cinq ans, Alhassane Kaba a fait un parcours « exemplaire » pour s’intégrer en France. Alors, le refus de titre de séjour, couplé à une Obligation quitter le territoire français (OQTF), émis par la préfecture du Finistère, le 11 janvier 2024, est un gros coup de massue. Et même bien plus que ça.

Aujourd’hui entouré d’une nouvelle famille, d’une petite amie, de nombreux amis et de professeurs témoins de sa réussite, Alhassane Kaba, 21 ans, risque de tout perdre. De voir tous ses efforts jetés en pâture.

Son entourage organise une réunion publique à Pleyber-Christ à 11 h, à la salle du Rouallou, près de l’Ehpad. « On est dans une démarche de sensibilisation, pas de revendication », précise Sandrine Corre. Alhassane Kaba vit chez elle depuis 2019. « Il est comme mon fils. »

Une pétition a été lancée. Elle réunit déjà plus de 31 400 signatures.

« Il a bossé comme un dingue »

Né en Guinée, Alhassane raconte avoir été abandonné par sa mère et ne pas connaître son père. Livré à lui-même, il n’a « jamais été scolarisé ». En 2018, il traverse, « à 15 ans et demi », la Méditerranée « à la rame, depuis Tanger » au Maroc. Il transite, selon son récit, par l’Espagne, puis le camp de migrants de la porte de la Chapelle à Paris « J’ai squatté, trimballé mes affaires… » décrit-il.

À Vannes (Morbihan), le Département refuse de reconnaître son statut de mineur isolé. En août 2019, on le guide vers l’association Les Utopistes en action, à Pleyber, qui lui donne des cours de soutien en français et en mathématiques.

Il intègre ensuite une classe de 3e au collège des monts d’Arrée de Plounéour-Ménez. « L’AVS (auxiliaire de vie scolaire) d’un ami a vu que j’étais motivé et m’a aidé. En même temps, je m’étais inscrit au club de lecture du collège. On devait faire des résumés de livre chaque semaine », raconte-t-il. « Il a bossé comme un dingue », se souvient Sandrine Corre. Alhassane Kaba obtient son brevet avec mention Assez bien.

Un parrain et une marraine

Lors de sa seconde générale au lycée Tristan-Corbière de Morlaix, il demande à réaliser trois stages. Il effectue le premier en informatique, auprès d’Hervé Bonthonneau. « J’ai eu l’indélicatesse de lui demander immédiatement son histoire et j’ai été bouleversé. » Le tuteur de stage devient un ami. « Il y a bientôt deux ans », Hervé et son épouse, Aurélie Bonthonneau, sont devenus parrain et marraine, au civil, d’Alhassane Kaba. Et il forme depuis quelques mois un couple avec leur fille, Annaïg, 17 ans.

Dans leur salon, une photo d’Alhassane et Hervé est épinglée, souvenir d’un road trip en Finistère à vélo. Il est aussi très proche de Romane, leur seconde fille, et de son petit ami, Ludovic : « On a des t-shirts en commun », glisse-t-il en riant. Sa belle-famille et famille d’adoption parlent d’un garçon « solaire », « qui s’accroche ». Il fait des ménages chaque semaine, quelques travaux de jardinage, payés en chèque emploi-service.

Aujourd’hui, ses proches vivent dans « la peur » de son expulsion. Les larmes montent aux yeux d’Annaïg : « Il est tellement optimiste. Je dois tenir pour lui, je ne veux pas être source de stress. »

Côté scolarité, le jeune homme a travaillé d’arrache-pied. Après une 1re et une Terminale en bac pro microtechnique, il décroche son diplôme avec mention Bien. Depuis septembre, il est inscrit en BTS au pôle formation de l’UIMM (Union des industries et métiers de la métallurgie) de Brest. Il obtient deux promesses d’embauche en alternance. Pour finaliser la procédure, Alhassane, formule donc une demande de titre de séjour, le 9 juin 2023.

Annaïg Bonthonneau et Alhassane Kaba sont en couple depuis quelques mois. "Il était souvent à la maison", à bricoler avec son père, sourit la jeune fille. | OUEST-FRANCE

À ce moment-là, il est toujours en situation irrégulière, mais est confiant. Face au refus, Alhassane Kaba se dit « déçu », mais « essaie de prendre du recul ».

Malgré près de 70 courriers de soutien d’élus, de professeurs et d’amis, l’arrêté préfectoral indique : « L’ensemble des attestations produites au dossier […] et sa scolarité suivie avec assiduité, ne sauraient suffire à démontrer une intégration dans la société d’une particulière intensité. » « Le récit de l’intéressé sur son parcours manquait de spontanéité », peut-on aussi lire. La préfecture pointe surtout un manque de documents pour prouver sa minorité, à son arrivée en France. « Son apparence staturo-pondérale, sa maturité et sa capacité de réflexion ne corroboraient pas » l’âge de 15 ans et demi.

Alhassane avait trente jours pour quitter la France. Son avocate, Me Lucie Clairay, a déposé un recours, ce qui suspend l’OQTF. L’affaire est désormais entre les mains du tribunal administratif de Rennes. L’audience est prévue le 17 avril. « Si ça ne marche pas, conclut Sandrine Corre, on saisira la Cour de cassation et la cour européenne des droits de l’Homme. »

Pétition : https://www.change.org/p/tous-en-soutien-à-alhassane

https://www.ouest-france.fr/bretagne/finistere/malgre-son-parcours-exemplaire-depuis-cinq-ans-en-bretagne-alhassane-kaba-est-menace-dexpulsion-abb1e976-e468-11ee-b685-1479f5265e87

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21 mars 2024 4 21 /03 /mars /2024 18:17
21 mars 2024: Le Sénat vote contre le CETA à l'initiative du groupe communiste!
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